HEY YOU now we're into something new

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Dallas, Bieeno, Maestro Né le 31 octobre 1990 Né à West Eden origines italienne et américaine 20 ans Hétérosexuel Fait des études de physique à Yales Célibataire teenage westland type de personnage []inventé []PV [X]scénario Who is the real me inside ? Bosseur Curieux Comique Susceptible Observateur Têtu Fêtard Bavard Macho

♦ 'CUZ WE HAVE NOT ALL THE SAME STORY

I will no longer be disciplined by the frustrations of an insecure man*
Maria Mena, Our Battles

India London Wright vivait pratiquement le rêve américain. C'était une jeune femme pétillante d'ambition. Elle avait un métier qu'elle adorait et dans lequel elle excellait. Professionnellement, elle était en ligne pour une promotion et allait bientôt devenir une associée officielle du cabinet. Mariée à son copain de lycée depuis près de neuf ans, ils prévoyaient commencer à former une famille. Ils vivaient dans une maison bien trop grande pour deux, avec une piscine creusée et un jardin fleurissant entouré d’une jolie petite clôture blanche. Une utopie comme celle que l’on vend dans les films américains. QU’elle n’avait pas été la surprise de sa famille et de ses amies quand la jeune femme de 32 ans avait soudainement demandé le divorce. De l’extérieur, cela avait semblé une décision précipitée et sans raison. En réalité, India y pensait déjà depuis un moment lorsqu’elle l’avait annoncé à sa mère. Depuis quelques mois, son mari avait changé et pas pour le meilleur.

Les changements s’étaient opérés de manières subtiles, sans qu’elle ne s’en rende vraiment compte. Avec du recul, elle se disait que les signes avaient commencé tôt dans leur vie de jeunes mariés. Amoureuse et naïve, elle avait laissé passer beaucoup de choses, mais lorsqu’il l’avait frappé la semaine d’avant, elle avait mit un stop. Cela n’avait pas été un très gros coup et il s’était excusé immédiatement après, mais elle avait claqué la porte. Il y avait des choses que l’on ne peut pas pardonner, même à ceux qu’on aime. Pour India, la violence conjugale était l’une de ces choses impardonnable.

Girl you've gotta try to put the past behind cause now i'm in your life
Shawn Desman, Superman

Les mois qui avaient passé suite à sa demande de divorce avait été difficile. Elle avait même dû prendre une ordonnance restrictive après que son mari soit entré par effraction dans l’appartement qu’elle s’était prose en attendant. Il avait tout détruit dans le grand trois pièces et cela, ajouter aux menaces téléphoniques qu’il proférait, lui avait fait très peur. L’alcool jouait un grand rôle dans ces intimidations, ce qui la rassurait encore moins. Qui savait ce qu’il était capable de faire dans un tel état. La jeune femme frissonnait juste à y penser. Cette mesure de protection arrivait pile pour la fin de l’année scolaire à Yale et par le fait même, l’arrivé des internes pour l’été. Dès les premières années en droit à l’université, les étudiants pouvaient passer l’été à travailler au cabinet Smith & Fairlee.

Cette année-là, un étudiant se démarqua plus que les autres. Luigi Paolo Valente Edouardo Maestro avait 22 ans. Passionné de droit, un peu idéaliste sur les bords, il s’enthousiasmait à chaque fois qu’il était question de cause perdu ou d’aider la veuve et l’orphelin. Il était sérieux et appliqué, plus que la majorité des internes qui avaient travaillés avec India au cours des années. Le fait qu’il soit d’une beauté toute italienne avec son accent subtile et un corps de mannequin ne faisait pas de mal non plus. Dès leur première rencontre, il se forma une connexion entre eux. Dans ces temps sombre pour l’avocate, le flirte léger et permanent que lui faisait Luigi faisait du bien. À cause de leur différence d’âge de dix ans, elle ne le prenait pas vraiment au sérieux. Cela restait tout de même flatteur. Les beaux jours, il lui arrivait de retourner le flirte vers l’italien, mais en général, elle l’ignorait en souriant. Ce qu’elle me savait pas, c’est qu’à la fin de cet été là, Luigi était tombé amoureux d’elle.

You're the woman I love and I love what it's doin' to you.
Paul Anka, (You’re) Having my baby

« Allez, poussez Madame Maestro. Poussez. On y est presque. » Dit une nouvelle fois la jeune docteure qui s’occupait de son accouchement.

Pour toute réponse, India grogna et serra encore plus la main de Luigi. Si elle continuait comme cela, elle allait finir par lui casser tous les os. Après l’été de leur rencontre, le jeune homme lui avait fait part de ses sentiments pour elle. Après une hésitation due à leur âge respectif et qu’à son divorce même pas encore prononcé, elle avait accepté un rendez-vous. La suite de l’histoire parle d’elle-même.

« Voilà, voici votre fils. » Les mots de la professionnelle résonnèrent par-dessus les pleurs du nouveau-né. « Vous voulez le prendre ? » demanda-t-elle à la nouvelle mère.

Le nouveau père prit place à côté de sa femme sur le lit d’hôpital alors qu’une infirmière déposait le descendant dans les bras d’India. C’était un petit garçon aux yeux bleus clairs, un peu ? et avec déjà quelques cheveux foncé sur le crâne. Dès le premier regard vers son sang, Luigi sentit son cœur se gonfler d’amour pour lui. Cette petite chose dans leur bras était une partie de lui-même et une partie de la femme qu’il aimait plus que tout au monde. Au font de lui, il savait qu’il venait de se former un amour inconditionnel.

"> Te v'las au tout debut, debout d'vant l'inconnu.
Kevin Parent, Father on the go

Élever un premier enfant demande toujours un peu d’adaptation. Aider par leur famille, les deux parents s’en sortaient plutôt bien. Rapidement une routine s’installa et Dallas évolua entourer d’amour et de stabilité. Bientôt, le couple décida d’avoir un second enfant puisque India approchait de plus en plus de la quarantaine. Andria Cheyenne Maestro rejoignit donc la famille. Puisque la différence d’âge était plutôt faible, les deux enfants étaient assez proches. Il n’y avait pas d’autres enfants dans le quartier donc jusqu’à ce que Dallas entre à l’école à cinq ans, ils n’avaient que l’autre avec qui jouer. Tous les deux avaient une imagination débordante et adorait s’inventer des jeux et des histoires. Chaque jour, ils renouvelaient le jeu du papa et de la maman, devenant parfois des super héros aux pouvoirs extraordinaire ou devant de célèbres médecins en pleins accidents ou alors des pirates recherchant un trésor. Luigi adorait plus que tout les rejoindre et jouer son propre rôle dans le monde inventé par ses enfants. Le couple mettait un point d’honneur à stimuler leur imagination. Ils avaient les moyens de leurs acheter tous ce qu’ils voulaient. Ils auraient pu faire comme de nombreux parents de leur génération et les laisser se faire éduquer par la télévision, mais ce n’était pas dans leurs valeurs.
Dès qu’ils eurent l’âge, Dallas et Andria allèrent à la petite école. C’était une école de bon niveau avec uniforme et tout le tralala. Si le frère se fit des amis dès les premiers jours, c’était plus difficile pour sa sœur. Ses lunettes et sa difficulté à prononcer certains mots lui attirait les moqueries. Son instinct protecteur se développa donc assez rapidement. Une chance qu’il n’a jamais aimé la bagarre parce qu’il se serait souvent retrouver chez le directeur.

You are sixteen going on seventeen. Baby, It's time to think…

Julia Andrews, Sixteen going on seventeen

Vient ensuite l'adolescence et tout ce qui s'y rapporte. On grandit, nos corps changent et lentement, on devient un homme. Malgré un caractère d'ordinaire sérieux, Dallas se laisse un peu aller. Ses notes baissent par rapport à se qu'elles étaient au primaire, mais rien d'alarmant. Seulement, il préfère traîner avec les copains que d'étudier. Comme les autres garçons de son âge, il se cherche, expérimente et fait des bêtises. C'est une période pleine d'incertitude, de bonheur, de peine, d'embarras et d'un tas d'autres émotions différentes. Au lycée, il sortira avec quelques filles pendant quelques semaines, deux mois tout au plus. Il est encore jeune, il a le temps de trouver l'amour de sa vie plus tard. Une fois, il essaya de fumer une cigarette. Il s'était étouffé comme c'est pas possible. Ce fut la seule et unique qu'il prit de sa vie. Il se vit proposer quelques fois un joint, mais ça ne le tentait pas plus que ça. Il considérait qu'il pouvait très bien s'amuser sans prendre de drogue. À 14 ans, il a sa première brosse au chalet d'un pote. Au même party, un jeu de la bouteille l'amena à ses premières expériences sexuels à deux. Le hasard l'avait envoyer dans le placard avec Katie Williams qui, tout le monde le savait à l'école, avait assez peu d'estime d'elle-même pour faire plus qu'embrasser. Dallas aura sa première fois un an et demi plus tard avec une de ses petites amies.

J'étais tellement heureux quand j'étais petit, tellement pas soucieux du reste de la vie.

Kaïn, Grandir

Aujourd'hui, Dallas a vingt ans. Il va à l'université de Yale où il étudie la physique. Il adore toujours autant s'amuser, ce qui ne l'empêche pas de se concentrer tout de même sur ses études. Même si ses parents vivent pas si loin de l'université, il s'est tout de même prit un appartement. Ça lui permet d'avoir une indépendance qu'il n'aurait chez eux. En plus, il peut se rendre à l'école à pied, ce qui est un avantage. Cela ne l'empêche pas d'aller souper avec eux chaque dimanche. D'aussi qu'il se souvienne, le souper du dimanche avait toujours été une tradition chez les Maestro. Luigi avait toujours insisté pour que la famille est un moment privilégier ensemble. Ils travaillaient tous les deux beaucoup, India chez Smyth, Fairlee & Wright alors que lui travaillait au bureau du procureur. Quand aux enfants, ils avaient tous leurs activités extrascolaires et leurs propres amis. Le dimanche soir était souvent le seul moment où ils pouvaient tous être dans la même pièce et discuter ensemble. Malgré son départ pour Yales, la tradition fut conservé. Il travaille quelques soirs au club video qui se trouve en face de son appartement. Cet emploie ne lui sert que pour ses dépenses personnelles puisque ces études et la plus grande partie de l'appartement sont payé par ses parents tant qu'il continue la fac. Il faut aussi qu'il paye pour Topaze, sa chienne de race Schnauzer nain. Il faut bien qu'elle puisse nourrir sa porté.

This could be the start of something good!

Britannia High, Start of something

♦ WE ALL HAVE A CHILDREN IN US THAT NEED TO HAVE FUN

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